En automne, la nature se pare de magnifiques couleurs. Avec ses tons cuivrés, ce pistachier térébinthe en est une parfaite illustration.
Photo capucine30
En automne, la nature se pare de magnifiques couleurs. Avec ses tons cuivrés, ce pistachier térébinthe en est une parfaite illustration.
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Drôle de rencontre faite au détour d'un chemin dans les vignes. Une grosse chenille verte, mais sans poils, avec des cornes sur la tête. Légèrement translucide. Un petit tour sur internet et j'ai pu identifier la belle inconnue. Il s'agit de la chenille d'une des nombreuses variétés du papillon Sphynx (sphingides).
Il paraît qu'elle a cinq paires de pattes pour l'aider dans sa reptation mais j'avoue que sa taille ne m'a guère incitée à la toucher (ah les vieilles phobies devant ces petites bêtes qui volent ou rampent !).
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Il suffit de faire un petit tour au cimetière
pour constater que la crise frappe là aussi.
Cette année, les potées de chrysanthèmes
sont plus petites et moins nombreuses.
Mais cela n'enlève bien sûr rien à la ferveur
que l'on porte à nos disparus.
Seuls les fleuristes s'en plaindront.
Les grosses fleurs semblent
avoir laissé la place aux petits pompons.
Mes préférées : les fleurs cuivrées ou les blanches.
Exit les drôles de plantes sur tige de l'an dernier.
Quelques potées bi - voire tri- colores apparaissent aussi çà et là.
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Décidément, l'automne est bien là. Et ce n'est pas l'augmentation annoncée de la température pour cette semaine qui me fera revenir sur cette impression.
Le jardin fait triste mine car les couleurs s'y font rares. Les belles de nuit jouent les prolongations. A plus de 3 mètres de hauteur, la fleur d'une rose trémière fait de la résistance. Les dernières ipomées bleues ont beaucoup souffert des violentes pluies de la semaine dernière. Et quelques roses essaient encore d'attirer quelque mignonne égéries de Ronsard.
Mais toutes ces plantes ont en commun d'avoir réussi à résister à l'infatigable Fuji le husky, jardinier aux méthodes quelque peu expéditives.
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La fourmi travaille sans cesse. A-t-on jamais vu une fourmi faire la sieste ? Rappelez-vous la fable de la Fontaine : la cigale chante tout l'été tandis que la fourmi se consacre aux provisions hivernales. Le froid s'annonce et les travailleuses infatigables redoublent d'ardeur. et il n'est rare de rencontrer lors d'une promenade de petits monticules signalant leur activité. On peut constater que ces petites bestioles sont aussi de vraies architectes.
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Le chardon Marie se reconnaît à ses feuilles épineuses marbrées de blanc. Silybum marianum est une plante bisannuelle : les feuilles basales sortent la 1ère année; la 2e année, elle pousse en hauteur et fleurit.
La plante se nomme ainsi car elle aurait blessé la vierge Marie au sein, alors qu'elle allaitait Jésus. La légende dit qu'une goutte de lait tomba sur une feuille. Pour la punir, elle en garda la trace pour toujours.
Comme l'artichaut, le chardon contient de la silymarine qui est utilisée pour traiter les problèmes hépatiques. Cette plante est surtout implantée dans la zone méditerranéenne.
On rencontre actuellement de superbes spécimens.
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Les plages qui bordent l'océan Atlantique ne sont pas faites pour le baigneur, petit ou grand. Elles sont le paradis des surfeurs avec leurs vagues énormes et leurs rouleaux qui semblent sans fin. A Biscarosse, Lacanau, Carcans ou Mimizan, le spectacle est garanti.
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A chaque voyage dans la région bordelaise, je ne manque jamais de faire un détour par le parc ornithologique du Teich, au bord du bassin d'Arcachon. A chaque saison ses oiseaux.
J'avoue que juin est le mois que je préfère, pour le spectacle insolite de la colonie de cigognes qui s'y pose, le temps d'assurer sa descendance (voir l'album "Le Teich" sur ce blog).
En septembre-octobre, ce sont les cormorans qui font le spectacle. Immobiles, perchés sur leurs piquets comme des statues.
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L'automne est là. Et il n'y a pas que le calendrier qui le dit. Au jardin, les plantes songent à prendre un repos bien mérité. Mais certaines font de la résistance. Le sédum nous fait voir la vie en rose et le plumbago du Cap en bleu. Le corête du Japon esquisse timidement quelques fleurs d'un jaune très pâle et le mandevilla bien à l'abri (du vent et du chien) continue à offrir des tiges exubérantes et des jolis cornets rose.
Côté rosiers, ce n'est pas brillant.
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Le diable cherche Midi, petit insecte de la famille des punaises aux allures de guerrier masaï avec sa carapace rouge et noire, est un infatigable travailleur. On le rencontre partout dans le jardin. L'insecte est ainsi appelé à cause de son attirance pour le soleil au zénith, ou encore gendarme. Infatigable, il colonise le moindre amas de feuilles. Ici, une colonie s'est installée sur un hibiscus syriacus dont les fruits remplis de graines lui semblent prometteurs.
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