Beaucoup de jardiniers recommandent
de faire des boutures en enfonçant directement
le tronçon de plante dans la terre. En le trempant
au préalable dans un peu d'hormone de bouturage.
J'avoue que je ne suis jamais arrivée à de grands
résultats avec cette méthode.
Je préfère de loin faire enraciner mes boutures
dans l'eau; en y mettant un morceau de charbon
de bois pour éviter la putréfaction si la température
est trop élevée.
Et à cet effet, je récupère bon nombre de flacons
d'épices vides ou de petites bouteilles échantillons.
Ma dernière trouvaille, ce sont deux vases éprouvettes
qui se prêtent à merveille à l'emploi.
Actuellement, ils servent de pouponnière à de futurs corètes du Japon et à des lauriers roses.
Ci dessous, les boutures des bégonia tigre (begonia bowerae, panaché) et acétosa (avec les feuilles au revers rouge), ainsi que celles du tradescienta (plus connu sous le nom de misère) ont franchi l'étape du rempotage.
Photo Capucine30 DLWeb