Ma préférence allait au sapin naturel jusqu’à ce Noël 2001 où à la mi-décembre il n’y avait déjà plus de sapin naturel en vente. Comme il n’était pas question de passer les fêtes sans l’un de ses emblèmes majeurs, j’ai donc opté pour un sapin artificiel. Une belle réplique de Nordmann (ABIES nordmanniana), en solde qui plus est.
Chaque année, il y avait une petite culpabilité au fond de moi quand je le ressortais de sa boite. Une publication sur le site « Nettoyons la nature » vient de la balayer. « Si vous optez pour un sapin artificiel, il faut le conserver longtemps... au moins 20 ans pour que son bilan carbone devienne favorable ».
Le mien affichant allègrement ses 22 ans, il est donc devenu écologique. Et largement rentabilisé vu le prix en hausse constante de ses camarades cultivés.
Les plus chatouilleux d’entre vous diront qu’il existe maintenant des formules de gardiennage de votre sapin entre deux périodes de fête. Certes, mais pas partout.
Photo Capucine30