Le blog de capucine30

J'ai vu les premières chenilles processionnaires dans la garrigue. Certes, il n'y a pour l'instant que peu de cocons, sur quelques petits pins, abrités dans une combe.

Mais c'est le signe annonciateur que d'autres vont faire leur apparition.

Il n'y a aucune pitié à avoir pour ces sales bestioles. Non seulement elles s'attaquent aux végétaux, qu'elles peuvent faire passer de vie à trépas, mais elles sont aussi très dangereuses pour les animaux.

C'est quand elles sortent de leur nid pour entamer leur migration au sol qu'il faut redoubler d'attention. Leur longue procession à la queue leu leu ne manquera pas d'intriguer les chiens qui voudront renifler ce long serpent coloré.

S'il y touche, le chien risque de connaître de graves problèmes.

Mon vétérinaire m'a raconté que l'un de ses patients, trop curieux, avait eu le bout de sa langue nécrosé après avoir machouillé une chenille processionnaire.L'animal a certes survécu à cette cruelle aventure mais il a perdu un petit bout de langue.

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J'ai vu il y a quelques années le cognassier du Japon fleurir en décembre. Cette année, alors que janvier est déjà bien entamé, il hésite encore. Il y a bien quelques boutons floraux mais ils ne se décident pas à éclater.

Certes, l'arbuste a souffert l'été dernier de la sécheresse et un laurier sauce lui dispute la terre nourricière. Mais je crois qu'il est surtout très vieux.

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Le temps clément incite la chatte à profiter du soleil. De là, elle a eu une vue dégagée sur les alentours et peut facilement surveiller le chien qui a fait du jardin son domaine. Là haut, la princesse du haut se sent à l'aise et semble narguer le roi du bas.

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Vous devez être nombreux à avoir reçu pour les fêtes une jolie orchidée facile à vivre, Dendrobium, à en juger par le nombre de consultations de l’article que je lui ai consacré.

Depuis le mois d’août, la mienne a émis de nombreuses pousses et j’espère bien la voir refleurir.

Très consultée également, la liste de moulins à huile.

Au palmarès des plantes qui vous intéressent, il y a toujours le bégonia nénuphar et le bégonia bambou. Côté nature, ce sont le ciste, le genet et le fragon qui ont la cote.

Les albums sur les Jardins de la fontaine, à Nîmes,

Bergues et Cassel dans le Nord reçoivent

de nombreuses visites. Ce sont des endroits que j’adore.

Et je compte bien enrichir encore celui sur la flore du bois des Leins.

Certains se préoccupent encore des dates de la chasse et des jours de fermeture. Dans un peu plus d’une semaine, dimanche 13 janvier sonnera la fin de la chasse au petit gibier. Il ne restera plus que les battues au sanglier, facilement repérables en raison du tapage qu’elles provoquent (aboiements des chiens et sonneries de trompes). Et la chasse dite à la passée, au lever et au coucher du jour, qui ne sont pas les moments de la journée où l’on a le plus envie de se promener. Ainsi les balades dans la garrigue seront plus tranquilles.

L'un d'entre vous se demande

s'il faut déjà protéger un citronnier.

Je sais bien que pour l'instant il n'a pas vraiment gelé

dans le Sud mais on n'est jamais à l'abri

d'un coup de froid particulièrement vif et imprévu.

Une protection légère - du plastique à bulles fait particulièrement l'affaire - est très facile à enlever dans la journée. 

Ce n'est pas très décoratif, je vous le concède, mais c'est très efficace.

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L'hiver approche à grand pas mais il ne faudrait pas croire que le jardin est au point mort. Du côté du néflier (ci-dessus) cela butine à tout-va, dans un grand bourdonnement.

 Et l'aralia (ci-contre) n'est pas en reste avec ses curieuses inflorescences, qui ressemblent d'ailleurs à celles du lierre panaché (ci-dessous).

Quant au buis, sa floraison est plus discrète. Il ne faisait qu'une vingtaine de centimètres quand je l'ai ramené d'une randonnée il y a une trentaine d'années, il fait aujourd'hui près de 2 mètres et m'a fait cette année la surprise de m'offrir à son pied un rejeton.

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