Voici les principaux sujets d’intérêt, ou préoccupations, qui vous ont amenés cette semaine sur ce blog.
Le bégonia bambou a toujours la cote. Et je vous comprends. Voilà une plante facile à vivre, qui se bouture facilement. En outre, si vous ne l’arrisez pas trop, il vous offrira des grappes de petites fleurs roses.
En seconde position sur le podium, le pothos. Cette espèce de grande liane, elle aussi, se bouture facilement. Peu exigeante, elle ne vous en voudra pas si vous oubliez de l’arroser une semaine.
A la troisième place, les ipomées. "Comment les cultiver ?" demande l’un d’entre vous. Il suffit de semer les graines dans un pot, ou en pleine terre. La plante, qui se présente comme une grande liane, aura ensuite besoin d’un support pour grimper en spirale.
Grille de protection ou arbuste feront l’affaire. Il y a quelques années, mon plus beau pied se partageait entre la grille de la fenêtre de cuisine et le citronnier. Les ipomées bleues, ou roses, sont très faciles à cultiver.
J’ai essayé d’acheter des variétés sophistiquées mais elles sont très chères et le résultat n’est pas garanti. J
’ai certes obtenu quelques pieds mais je n’ai pas réussi à récupérer des graines, ce qui était le but de l’opération.
Les bambous ont toujours les faveurs des jardiniers internautes. Nains (moins de 50 centimètres), petits, moyens ou grands (le mot géants serait mieux adapté), ils apportent une note exotique au jardin. Ils font aussi office de brise-vent ou d’occultant (on peut aimer ses voisins sans souhaiter les avoir sous les yeux toute la journée). Attention, les bambous fleurissent parfois. Si, contrairement à ce que j’ai souvent lu, ils ne disparaissent pas définitivement, ils abandonnent quand même le terrain en surface pendant quelques années.
Il semble que les rhizomes arrivent à reconstituer des réserves pour retrouver une nouvelle vie. Arundo donax, la canne de Provence, semble être plus résistante mais elle est moins jolie.
Le bois des Leins et sa flore sont toujours l’objet de vos recherches : grande camomille, cistes, arbousiers...
Et le bégonia nénuphar continue à vous intéresser. Je rappelle qu’il n’a pas sa place dans un bassin ; c’est une plante d’appartement dont la forme des feuilles fait penser au nénuphar d’eau.
Les joubarbes sont-elles toxiques ? Je ne pense pas mais je n’ai jamais essayé de les manger !
Je pense que le « gros insecte noir avec pinces » doit être un lucane cerf-volant, avec lequel je fis connaissance un peu brutalement lors d’une promenade en garrigue.
Les saints de glace, et non les saintes glaces, ont fait l’objet d’un article. Bonne nouvelle, ils ne reviendront que l’année prochaine.